Social

S-O-C-I-A-L.

Social. Je ne saurais expliquer ma fascination pour ce mot. Une psychologie de comptoir pourrait avancer que c’est parce qu’il renvoie pour moi au collectif, à l’autre et que mon enfance de fille unique m’a fait rechercher sans cesse ce collectif, cet autre.

Evidemment, ce raisonnement faiblard ne me convient pas. Même si pas d’idée pour une autre raison non plus, ce n’est pas grave.

Le social, dans mon esprit de bisounours simpliste, c’est le bien.

Tu es un travailleur social. Tu fais le bien. Tu bosses dans le social ? C’est bien. Les réseaux sociaux ? C’est cool. La sociologie ? C’est sympa.

Tu me dis « social » et je vois « société », vivre ensemble, ça fonctionne...

Tout ce qui touche de près ou de loin à ces petits êtres humains, pour les aider, pour les étudier, les comprendre, les aimer, leur parler, le social, c’est bien.

Peut-être que je confonds « social » et « amour ». Je ne sais pas.

Social, social et ça me donne envie, de prendre une toute petite place, un tout petit coin du mouchoir où je pourrais faire du social, être sociale moi aussi, être avec vous, eux, enfin, les gens.  

Il n’y a pas de conclusion.

Seulement ce mot  qui m’inspire tant de fois.